Leur histoire
François-Xavier et Augustin sont tombés amoureux de l’Afrique lors d’un premier voyage en Ouganda il y a une dizaine d’années. En 2014, ils lancent Kasana. L’idée est simple : aider les fermiers d’Ouganda, du Togo et du Burkina Faso en les formant aux techniques de séchage solaire, permettant ainsi de valoriser les surplus de fruits exotiques comme les mangues, les bananes et les ananas. Chez Kasana, ils ont à cœur de recréer une connexion entre le consommateur et le producteur en établissant un circuit court entre l’Europe et l’Afrique. Cela permet de garantir un prix juste, une meilleure transparence et une bonne qualité. De plus, ils redistribuent une partie des bénéfices aux coopératives agricoles et à des associations comme Refugee Next Door qui met notamment sur pied des écoles et des centres de formation pour soutenir des projets agricoles locaux.
Les nombreux bienfaits des fruits séchés
Nos noix de cajou du Burkina Faso
Historiquement, le manque d’infrastructure en Afrique de l’Ouest, là où la noix de cajou est récoltée, a pour conséquence que plus de 90% des noix sont vendues brutes, dans leur coque, à des commerçants étrangers à bas prix. La structuration de la filière actuelle de la noix de cajou est donc longue et polluante : les noix de cajou sont transportées principalement vers l’Inde, le Vietnam ou le Brésil (a plus de 10 000 km de leur lieu de production) pour y être décortiquées et traitées, puis mélangées aux noix locales pour être revendues en Europe ou en Amérique du Nord.
Grâce à la création d’infrastructures locales de transformation qui permet à Kasana de s’approvisionner directement au Burkina, on divise par 12 l’empreinte carbone engendrée par la filière classique.
2. Création de valeur ajoutée
Cette transformation des noix sur place est en enjeu majeur car une noix décortiquée vaut 3 fois plus qu’une noix brute ! Cela permet de créer de nombreux emplois en zone rurale où le taux de chômage est élevé.
Cette étape est primordiale car elle change le statut de la filière burkinabé, de simples fournisseurs de matières premières, les coopératives passent au rang d’exportatrices de produits semi-finis, ce qui renforce considérablement leur pouvoir de négociation face aux acteurs de la filière.
3. Un prix juste
Les producteurs de Choupoubi vendent leurs noix à un prix qui leur permet de couvrir leurs frais et de dégager une marge de profit tout en offrant des rémunérations et conditions de travail décentes.
Grâce à ce prix juste, Choupoubi a les ressources nécessaires pour mener à bien différents projets sur place qui vont du suivi à l’entretien des vergers à la réalisation d’œuvres sociales communautaires.
4. Conditions de travail respectueuses
Les décortiqueuses sont majoritairement des femmes, elles travaillent dans des conditions sécurisées et sont payées selon les normes légales du pays.
Bancontact, Mastercard, Visa, Sodexo, Edenred, Monizze, Ecocheque, Ticket repas, Payconiq
BE 0668.997.617
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